Le château de Camelot s’étendait sous un ciel de plomb, où l'ombre lourds semblaient cuire sur les remparts de la même façon qu'un présage silencieux. L’aube peinait à déguerpir la chape grise qui recouvrait le destin, et l’atmosphère elle-même semblait imprégnée d’une tension indifférent. Dans les entrailles du château, Morgane avançait d’un pas mesuré, ses clavier effleurant les murs de pierre froide. Elle n’avait pas fermé l’œil de l'obscurité, hantée par les portraits qui s’étaient révélées à elle dans les reflets de l’eau. La voyance ne lui livrait jamais un maximum des réponses, seulement des fragments à céder. Les couloirs aboutissant aux localisations les plus de l'ancien temps de la forteresse étaient filet empruntés, uniquement traversés par les de grand prix professionnels de la garde d'animaux chargés de encadrer les prisons souterraines. Les murs y étaient épais, témoins silencieux des âges derrière nous. Morgane savait que c’était là que se dissimulaient certaines personnes des secrets les plus immémoriaux du condition. La voyance lui dictait d'obtenir ici, de plonger dans les ombres du passé pour saisir la menace qui pesait sur le employé. Les fictions racontaient que Camelot s’élevait sur d’anciennes fondations druidiques, des régions où autrefois la magie circulait librement. Certains murmuraient encore que les perles blanches en particulier conservaient la souvenance des dates révolues, et que les sportifs savaient être en phase avec pouvaient adopter l’écho des âmes disparues. La voyance ne se limitait pas à décrypter le futur, elle s’étendait entre autres dans le passé, puisant dans les vestiges de ce qui avait subsisté pour aviser ce qui allait advenir. Morgane ralentit sa échelon lorsqu’elle atteignit une arche basse, partiellement ignorée après une étape de torches éteintes. Ce passage, oublié des chevaliers, menait aux archives scellées du château. Peu de nos compatriotes en connaissaient l’existence, et encore moins osaient s’y aventurer. Pourtant, la voyance la guidait jusqu’ici, comme une acception invisible la poussant à franchir cette frontière interdite. Elle poussa la porte de intention épais qui grinça par-dessous son poids. L’air à l’intérieur était stagnant, chargé de poussière et de biographies figés dans les siècles. De hauts rayonnages recouverts de parchemins s’alignaient dans la pièce obscure, chaque individu renfermant des signes du passé, des biographies rédigées par des scribes disparus depuis des siècles. La voyance de Morgane lui dictait d'obtenir parmi ces écrits, de assommer dans ces dossiers oubliés pour piger ce que l’histoire tentait de taire. Ses main glissèrent sur les reliures craquelées, effleurant des sceaux séculaires avec lequel les motifs semblaient familiers. Son regard s’arrêta sur un manuscrit marqué d’un symbole druidique, un champ traversé d’un trajectoire ondulant comme par exemple une rivière. Ce symbole, elle l’avait aperçu au préalable, réalisés sur des pendentifs rituelles cachées au cœur des forêts sacrées. Elle ouvrit légèrement le parchemin, les visions tracés à l’encre brune s’étalant marqué par ses yeux de façon identique à un signal survolant les âges.
Les silhouette évoquaient une ancienne divination, une prédiction oubliée attachée au règne d’Arthur. Elles parlaient d’une doute s’élevant depuis l’intérieur du gouvernement, d’une trahison apparue au sein même de la cour. Un représenter correspondant du trône, ayant fait en lui le sceau du fable, devait œuvrer dans l’ombre pour infuser l’ordre apprécié. La voyance annonçait que ce traître ne frapperait pas avec une lame, mais avec la ruse, dissimulant ses véritables projets après un masque d’allégeance. Les battements de cœur de Morgane s’accélérèrent. Ce que la voyance lui avait montré prenait enfin significations. Le affliction ne venait pas de l’extérieur, mais du cœur même de Camelot. Quelqu’un au nombre des chevaliers, ou peut-être un prôner du tempérant, tramait un complot qui échappait encore aux regards ordinaires. Seule la voyance pouvait en dévoiler les contours. Un distractions sourd résonna derrière elle. Morgane tourna lentement la face, le démon suspendu. Un habituel d’air s’engouffra dans la pièce, prolongeant vaciller la passion des torches accrochées aux murs. Quelque étape ou une personne venait de franchir le sphère. Elle referma sans peine le parchemin et le glissa sous son manteau. La voyance lui avait fêté à dissimuler ses découvertes jusqu’au agréable instant. Dans ce château où le mythe pouvait porter mille portraits, bon valait ne pas inviter les soupçons. Elle se détourna des archives, quittant la parure avec la croyance que le piège se refermait délicatement sur Arthur. Lorsqu’elle remonta poésie le support, le date s’était déjà levé sur Camelot. Les chevaliers s’entraînaient dans la cour, attendrissant le bois et l’acier dans des éclats métalliques. Arthur observait leurs progressions sur les remparts, son regard perdu dans des sentiments lointaines. Il ignorait encore que la menace dont la voyance l’avait averti s’étendait déjà par-dessous ses yeux. Morgane, elle, savait que le temps lui était s'étant rencontré. Les comètes ne mentaient jamais, et bientôt, l'avenir qu’elle avait entrevu commencerait à se manifester dans la réalité.
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